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Maxime a 16 ans. Nageur talentueux, il se prépare à entrer en sport étude. Un après-midi, la police débarque pendant un entrainement pour interroger son coach, accusé d’abus sexuel par un des enfants du club. Ces accusations vont fissurer la carapace de silence que Max a construite pour survivre aux abus qu’il a lui-même subi des années plus tôt.

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UN BON GARÇON

Compétiton / France / 19'21

Générique

Réalisation : Paul Vincent de Lestrade

Scénario : Paul Vincent de Lestrade

Producteurs : Guillaume Dreyfus / Anne-Laure Guéguan

Production : Tripode Productions / Need Productions

Image : Kinan Massarani

Montage : Maxime Jouret

À propos du film

Après Charlène Favier avec Slalom, voici Paul Vincent de Lestrade qui ose traiter traiter le sujet sensible des violences sexuelles dans le sport. Dans Un bon garçon, il ne filme pas les abus mais leurs conséquences. Ici des jeunes nageurs, l'un détruit parce qu'il a parlé, l'autre étouffant parce qu'il se tait. Dans ce film fort et bouleversant, on retrouve Igor Van Dessel, jeune acteur déjà vu à Saint-Jean-de-Luz dans Le rire de ma mère et L'échange des princesses. On est heureux de le retrouver dans ce court métrage exemplaire. 

Paul Vincent de Lestrade

Après une licence en cinéma et audiovisuel à la Sorbonne, en parallèle de laquelle il travaille comme critique cinéma pour divers médias étudiants, il intègre l’INSAS où il suit le cursus réalisation.

Ses travaux documentaires Visage en 2019 et Club55 en 2022) comme fictionnels (Respire en 2020 et Un bon garçon 2023) forment une collection de portraits filmés au plus près des corps et questionnant notre rapport à la violence : celle qu’on nous impose et celle dont nous faisons usage.

Son : Vivien Roche, Hélène Lamy-au-Rousseau, Philippe Charbonnel

Décors : Charlotte Casamitjana

Costumes : Aline Bailly

Son : Pierre-Nicolas Blandin

Musique : Maxime Hervé

Interprètes : Igor Van Dessel, Sandrine Blancke, Steve Driesen, Mara Taquin...

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