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ÉLISE SOUS EMPRISE

Compétition / France, Belgique /1h25
PREMIÈRE FRANÇAISE

Rien ne va plus dans la vie d’Élise : engluée dans une relation toxique avec Léopold, elle se retrouve propulsée à la tête d’une troupe de théâtre, suite à la mort soudaine du metteur en scène dont elle était l’assistante. Submergée par des crises de panique, Élise vacille. Mais peut-être est-ce dans cette confusion qu’elle parviendra à se libérer de ses emprises et à reprendre le contrôle de sa propre vie ?

Réalisation : Marie Rémond
Scénario : Marie Rémond
Production : Pauline Seigland, Lionel Massol / Les films grand huit
Directrice de casting : Youna De Peretti
Directrice de la photographie : Virginie Saint-Martin
Chef opérateur son : Pierre Mertens

 

Cheffe costumière : Céline Brelaud

Cheffe décoratrice : Aurette Leroy

Cheffe monteuse : Clémence Diard

Casting : Marie Rémond, José Garcia, Olivia Côte, Gustave Kervern, Ambrine Trigo Ouaked,  Alain Françon, Anne Le Ny

Distributeur : KMBO

À PROPOS DU FILM

Bienvenue dans l'univers de Marie Rémond. Actrrice et réalisatrice, elle signe avec Elise sous emprise, son premier film, une comédie gentiment névrosée, où elle joue merveilleusement un personnage de metteuse en scène hypersensible en proie à son chaos intérieure. Pour l'épauler dans ses débuts très réussis  derrière la caméra, José Garcia en metteur en scène volage et arriviste, mais aussi Olivia Côte, Anne Le Ny et Gustave Kervern. Une pépite !

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MARIE RÉMOND

Depuis la classe libre du cours Florent suivie de trois années à l’École du Théâtre National de Strasbourg, dont elle sort en 2007, Marie Rémond a joué dans une quinzaine de spectacles et a obtenu le Molière de la révélation féminine 2015 pour son rôle dans Yvonne, princesse de Bourgogne.

Parallèlement à sa carrière de comédienne, Marie Rémond interroge le monde à travers ses histoires, touchée par des figures insaisissables d’êtres hypersensibles en proie à leur «chaos interieurs». Les quêtes identitaires et des gouffres existentiels, c’est là la thématique commune d’André, d’après Open d’André Agassi, puis de Vers Wanda autour de la figure de Barbara Loden, d’une étude de Greil Marcus sur Bob Dylan dans Comme une pierre qui… (trois spectacles coécrit avec Sébastien Pouderoux et/ou Clément Bresso,) de la nouvelle de Jane Bowles Camp Cataract, adapté dans Cataract Valley au Théâtre de l’Odéon ou du scénario du Voyage de G. Mastorna de Fellini récemment monté avec la troupe de la comédie française.

En parallèle, elle incarne au cinéma des personnages tels qu’Anne dans Jeune femme d’Eleonor Seraille, et son premier long métrage Élise sous emprise.

© Raha Amirfazli

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